EXTRAITS ET DOSSIERS DE PRESSE SUR MAHLYA DE SAINT-ANGE
NEW YORK Mahlya et un ami Michel.
Madame Christiane GRESSARD, journaliste au Journal de Saône et Loire (Le JSL) et Mahlya
Laugardagur en Islande
Mahlya de SAINT-ANGE
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Comment fuir un compagnon brutal, alcoolique ? Comment reconstruire sa vie ailleurs ?
Le passé collera-t-il à nos pas irrémédiablement et saura-t-il irrémissiblement alourdir notre marche ? Comment choisir notre nouvel espace de paix, comment l'accepter ? S'il venait seul à se présenter sur notre route, sans que nous ayons le temps de l'analyser, pourrait-il nous emporter vers le bonheur ?
Jessica a un destin bousculé, pourtant elle croit au merveilleux. Mais le merveilleux ne se trouve pas sans risques à prendre. La nouveauté est parfois surprenante, inquiétante, mystérieuse.
Parviendra-t-elle à comprendre pourquoi l'homme chez lequel elle va travailler porte un masque et ne se montre presque jamais ? Elle le rencontre par hasard et il s'efforce, toujours très vite, de s'effacer de sa vue. Dans sa nouvelle maison, les miroirs sont interdits, comment savoir quel être vit ainsi ? Un ogre, un malade, un défiguré, un blessé de guerre ?
Jessica a quitté l'angoisse pour une ambiance très brumeuse, dans une Islande qui l'est plus encore. Parviendra-t-elle à défaire tous les noeuds de sa nouvelle vie et dans quelle perspective ?
< Laisse aller le passé et le passé te laissera aller. >
< Vis pour ce que demain va t'apporter et non pour ce qu'hier a su t'enlever. >
< J'ai toujours su que je rirais de mes larmes anciennes mais j'ignorais que j'allais pleurer devant mes rires d'hier. >
< Un jour, tu ne laisseras qu'un souvenir dans le coeur de certaines personnes. Fais en sorte de faire partie des bons. > (auteurs inconnus)
< On doit exiger de nous, que nous cherchions la vérité, mais non que nous la trouvions. > (Denis Diderot)
C'est avec beaucoup d'émotions que je ressors de cette lecture. Un grand merci à Julien pour m'avoir conseillé de lire ce roman coup de coeur.
Allez comprendre pourquoi certains livres agissent sur nous comme des aimants au point qu'il en est presque difficile de s'en dégager? Je me suis arrachée à cette lecture dans un état de sublimation avec le sentiment d'avoir plongé à chaque fois dans un décor forgé de roches volcaniques et d'eau salée où se mêlent mystères et secrets.
Et que dire des personnages! Ils sont tous terriblement attachants avec ce petit garçonnet, Loris, qui me fait tellement penser au Petit Prince avec son petit renard.
Jessica, le personnage principal, nous apparaît comme une femme pleine de sagesse avec qui nous aimerions parler des heures et des jours entiers. D'ailleurs, j'aurai tendance à penser que c'est toute la douceur et l'humilité de l'auteure qui transparaissent dans ce personnage.
Ce roman est un ravissement qui ne demandait qu'à faire son entrée en librairie. Une pépite, un bijou d'émotions qui porte en lui toute la beauté de cette terre sauvage et puissante. L'auteure nous donne de bien belles leçons de vie dans son oeuvre en abordant les thèmes du pardon, de la rancune et de l'amour de soi et des autres. Quelle complexité et surtout quelle surprise finale! Chut!
Dès les premières pages, la puissance de la plume de Mahlya de SAINT-ANGE s'impose ; elle est digne de la force de la nature qui règne dans l'immensité de cette "terre de glace". On apprécie les références faites à de grands auteurs, poètes ou écrivains, comme La Rochefoucaud, André Breton, etc. que l'auteure cite régulièrement dans son oeuvre.
Un livre mystérieux qui fait également référence à de nombreuses croyances populaires d'Islande avec l'origine des elfes et des trolls et de la relation importante des gens du pays avec celles-ci. Magnifique !
Un immense coup de coeur pour ce livre dont vous ne sortirez peut-être pas indemne!
Merci aux Editions Mélibée.
Extrait d'un petit dialogue entre Loris et Jessica qui est tellement vrai :
- "C'est affreux d'être raciste, c'est se définir comme supérieur..."
- Oui Loris, c'est vrai, le racisme est un ver qui ronge l'intelligence de certaines personnes..."
Note : 10/10
SALON DU LIVRE DE GENÈVE
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Les livres de Mahlya passent les frontières !
PARIS ESPACE DES POÈTES FRANÇAIS
Mahlya de Saint-Ange, le romanesque à échelle humaine.
C'est un grand plaisir pour moi d'évoquer une nouvelle fois et d'accueillir en notre espace Mompezat notre amie romancière Mahlya de Saint-Ange qui nous vient de Genève.Oui, le lieu et notre compagnie doit lui convenir puisqu'elle nous revient et en plus fait notre promotion en Suisse.Il me faut vous l'avouer Mahlya de Saint-Ange et moi nous avons déjà en commun une assez longue et amicale histoire. C'est la poésie et le roman par le truchement d'un titre similaire de nos ouvrages qui nous ont rapprochés. De son coté le roman < Les cygnes d'encre >, de mon coté le recueil < Signes d'encre >.Puis l'art nous lia encore plus, les contacts se confortèrent, oui c'est l'art encore plus que la poésie qui renforça notre entente, avec la grande artiste Pavlina comme passerelle. Une belle histoire d'amitié triangulaire ! Sans oublier le poète helvète Claude Luézior qui lui aussi est un relai dans ses amitiés.Mahlya de Saint-Ange est une romancière passionnée et passionnante ayant un large éventail d'expressions qu'elle porte toujours à son paroxysme.J'ai toujours rencontré chez Mahlya de Saint-Ange un rare potentiel de travail, c'est une boulimique du verbe et de l'écriture, elle pousse la perfection jusqu'à son terme ! Néanmoins, si l'écriture de ses romans est libre, autant qu'alimentée d'imaginaire, de fantasmes, d'errances, rien n'est laissé au hasard et elle n'aborde jamais aucun sujet sans connaître l'origine, ni l'approfondir par des recherches documentalistes, techniques, spécialisées, érudites. Elle ne laisse pas de place au hasard dans ses définitions, ses développements. Mais exulte totalement dans ses thèmes, j'oserai vous confier qu'elle osa même l'érotisme engagé, tout un programme! Mahlya de Saint-Ange se sentit toujours en proximité avec les artistes peintres, il vous sera d'ailleurs possible de constater que tous ses livres portent en première de couverture une oeuvre d'artiste, Pavlina qui fût à l'origine d'une singulière rencontre, Franco Cossutta, artiste tout à fait hors normes et Marie-Haude Steyert avec qui se prolonge aujourd'hui une belle histoire commune.A propose de Franco Cossutta, artiste totalement atypique, je fus témoin de quelques souvenirs croustillants. Entre un Franco Cossutta pour lequel Mahlya de Saint-Ange écrivait un roman autobiographique. Franco avait les plus grandes difficultés à se confier ! Croyez moi je vous assure que la situation était épique, ce fut une prouesse autocontrôlée. Mais le roman dont le titre est < Le miroir à deux têtes > fut une réussite ! Quant à Franco Cossutta, nous pourrions même dire pour plaider la défense de Mahlya de Saint-Ange, qu'il a trois têtes dont deux au moins sont toujours dans les étoiles.Les romans édités de Mahlya de Saint-Ange commencent à occuper un peu de place sur les étagères de nos bibliothèques, car un onzième, une biographie, voire un douzième même sont déjà en état de gestation et ce dernier risque de vous frigorifier puisque son action se situe en Sibérie. Pour l'heure le petit dernier < Dard & Miel > illustré par Marie-Haude Steyert souligne l'univers dérisoire du paraître, de l'illusion et de la vanité.Quant à < Girafe zébrée > il sera le support d'un film dont la musique est déjà en corps de composition.De son polar < Immeuble 12L quartier à risque > elle en espère beaucoup prochainement dans la Drome, au festival du polar au féminin.La déontologie morale et littéraire de Mahlya de Saint-Ange est toujours de fustiger l'injustice, d'abolir le paraître, de dénoncer la corruption, de pourfendre la vanité et d'anéantir le mensonge ! Son objectif avoué est de tendre vers le social et l'humanisme.En un mot, provoquer l'attention et l'émotion avec une once d'amour en don complémentaire !
Michel Bénard. Lauréat de l'Académie française
Commentaire d'une journaliste de Paris (nov. 2009)
Extraordinaire ouvrage de Mahlya de Saint-Ange, "La girafe zébrée" nous
invite à suivre l'évolution de Twiga, jeune africaine élevée chez les
Kombazis. Particulièrement bien documentée quant à ses moeurs et coutumes,
la culture Kombazie, proche de la terre mais aussi nourrie d' animisme et du
culte des ancêtres, nous vaut, sous la plume de Mahlya, de très vivants
tableaux où explosent les beautés naturelles dans des pages inoubliables.
C'est une culture où la lutte pour la vie est âpre mais où chaque bosquet a
un sens et où l'être humain est profondément conscient des forces qui
l'entourent et de son environnement.
Cependant, cette culture étant menacée, Twiga n'a bientôt d'autre choix que
de jeter l'ancre pour Amsterdam " Amsterdrame" où va se dessiner, pour elle,
un autre destin. Son arrivée au milieu des "hommes de craie" n'a de cesse de
l'étonner et de nous surprendre. Par sa naïveté provocante, son ouverture
d'esprit et sa manière de s'exprimer particulièrement riche d'images et
d'humour, la jeune fille soulève, au fil de pages toutes plus passionnantes
les unes que les autres, de fascinantes questions sur la vie, la mort et les
valeurs en Occident.
S'attaquant au rationnalisme, au côté destructeur du monde occidental et à
ses visions à court terme motivées par un mercantilisme outrancier, elle
dénonce, entre autres, la perte de sens de la destinée humaine en général,
le manque de sentiment communautaire, la solitude, la victimisation des
femmes ou encore un urbanisme monstrueux.
Mais l'auteur, faisant preuve de beaucoup de sagesse et sachant toujours
garder ses distances, ne défend ni ne dénigre totalement un monde ou
l'autre. Dans plusieurs cas de figure, que ce soit le monde africain ou le
modèle occidental, les mondes décrits comportent certains aspects difficiles
à accepter, en particulier du côté des femmes. Ou encore du côté de
l'écologie où pèsent des menaces sur un monde comme sur l'autre. Dans ces
conditions quel pourra être l'avenir pour la planête, au Nord comme au Sud?
C'est l'une des multiples questions que soulève ce livre.
Seule, la flamme de l'Amour pourra ouvrir, aux êtres humains, les portes
d'une évolution de conscience, tel semble être le message de cet ouvrage
captivant où l'on retrouve, comme dans tous les livres de cet auteur, une
dimension à la fois profondément humaniste et écologique.
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Laurence Moréchand
Emissions à Reims
La radio des arts: Les échos de Sapho - Interview 2004/2005 par Monsieur Michel Benard, Lauréat de l'Académie Française.
(disquette disponible auprès de Mahlya de Saint-Ange, par mail)
Articles de presse (extraits concernant son oeuvre)
Journal < Construire > 33, MIGROS Genève, du 12 août 2003 - Deux artistes franchissent les portes de mondes parallèles, l'une écrit (MAHLYA), l'autre peint (PAVLINA)
Même perception de l'être humain et de ses dimensions multiples, connivence originale, union de deux femmes particulièrement créatives. Les Cygnes d'Encre sont un recueil d'histoires étonnantes.
L'auteur a vite fait d'éclater pour projeter le lecteur en des mondes parallèles surprenants.
D'autres nouvelles nous emmènent dans des pays lointains, touchent la question de la manipulation génétique ou prennent des allures de contes orientaux. Mahlya a beaucoup voyagé et surtout exploré ses contrées intérieures.
Un écrivain, un peintre, deux artistes à découvrir pour être attentif aux mystères de la vie et se
par Marc Barailhé journaliste
Il y a trois mois j'ai lu la girafe zébrée. J'ai été impressionné par l'histoire. Quand j'ai eu terminé le livre de Mahlya de Saint-Ange, il s'est passé deux choses. La première c'est que je me suis senti seul. J'ai repris la lecture et décidé d'en faire un film. J'ai quelques petites notions de cinéma, mais surtout un désir immense que cette histoire soit connue par le plus grand nombre de gens. La seconde chose est toute simple: Le message de Mahlya est un message d'amour. Souvenez-vous au début du roman, les sorciers rendent la justice. Selam dit à Kuru et à Bira "Si vous ne parvenez pas à vous entendre, sachez que le plus court chemin d'un homme à un autre c'est le rire" Bel exemple de sagesse, ah! Si tous nous pouvions faire de même! L'oeuvre est pleine de bon sens, c'est pourquoi j'ai décidé de porter à l'écran ce roman. J'ai contacté Mahlya et elle a tout de suite été d'accord. L'éditeur aussi. J'ai adapté la première partie du livre avec bien sûr une étroite collaboration de l'auteur qu'est Mahlya. Et nous nous sommes dits, que nous arriverons à décider un producteur d'investir dans l'histoire. Si ce n'est pas le cas nous trouverons une autre solution mais le film se fera. Encore merci à Mahlya d'écrire, on se sent bien dans ces livres.
Les romans de Mahlva de Saint-Ange
A la découverte d'univers fascinants d'une écrivaine : Petite-fille d'un chef-d'orchestre français, Mahlya a toujours été confrontée à la musique en général et à celle des mots, par les opéras et opérettes qui ont fait rêver son enfance. Issue d'un père lillois et d'une mère vénitienne, l'écrivaine a grandi entre un monde familial bourgeois et un univers modeste. Elle fut donc tiraillée, dès son plus jeune âge, entre deux cultures et deux éducations très opposées. Pas étonnant dès lors qu'une de ses thématiques favorites consiste en la confrontation des genres et des styles: les relations humaines dans tout ce qu'elles comportent d'antagonisme. Anges et démons ... Mahlya, de par sa trajectoire familiale, a un côté <première dame> incarné aujourd'hui par Michelle Obama et surtout par Carla Bruni-Sarkozy, dont une partie trouble de sa biographie a été explorée dans le film réalisé par sa soeur Valéria <Il est plus facile pour un chameau ... >. Grâce, beauté, mystère ... Mahlya possède également tous les attributs de la messagère divine qui composent son nom de famille. Rien de tel pour se confronter, dénoncer et philosopher sur les démons de la vie terrestre que sont l'argent, le pouvoir (dans une moindre mesure) et le sexe dont il est notamment question dans l'un des romans de l'écrivaine, livre qui fut classé, malgré tout, comme oeuvre littéraire, par la Bibliothèque Nationale de Paris. Par sa plume, Mahlya a touché plusieurs pays (l'Afrique noire, la Hollande, la Tchéquie etc.). Elle a rédigé entre autre des nouvelles, une biographie sur le coma, d'un peintre reconnu à Paris, etc. Depuis l'an 2000, neuf romans, en tout, font partie de son oeuvre. Son nouveau livre,· signé comme d'habitude, au dernier Salon du Livre de Genève, est un roman policier. La dessinatrice de la plupart de ses couvertures est PAVLINA dont les oeuvres ont une empreinte ésotérique, puisque l'artiste aime s'adonner avec grand talent, à la peinture visionnaire. Une fréquence soutenue Bien que très sensible et attachée aux coups du sort de ses héros, Mahlya tenace et battante, connaît pourtant déjà les échéances importantes de ces cinq prochaines années! < Dard et Miel >, son dixième roman traitera de la superficialité des êtres, des vies et des aspirations et paraîtra début 2010. L'année suivante, son oeuvre nous emportera en un voyage en Transsibérien, (classe russe) entre Moscou et le lac Baïkal, vers la Yakoutie, où résident de nombreux chamans ... Ce récit aboutira à un livre qu'elle écrit actuellement, travaillant environ 10 heures par jour, avec une documentation de quelques 60 ouvrages! Changement de cap en 2012 et 2013 avec deux biographies consacrées à deux hommes très connus dans des domaines fort différents, en Suisse et en France. Là aussi, le mystère plane ...
Pascal Sauvain article paru dans Les Nouvelles des Trois Chênes
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Dard et Miel", le dernier ouvrage de Mahlya de Saint-Ange
*Le roman en point de mire*
Née à Genève, habitante de Chêne-Bougeries, Mahlya a toujours prisé le beau
langage et toute forme d'art. Elle fut correctrice au Palais des Nations,
pendant 22 ans et rédigea, en pleine autonomie, divers discours pour une
société sportive suisse. Depuis sa retraite, elle a dirigé sa plume vers les
romans. Dix oeuvres fort différentes sont venues souligner sa grande
imagination, livres qui ont été présentés à la radio en Suisse et en France
et qui, chaque année, sont signés au Salon du Livre de Genève et dans
plusieurs librairies françaises. Mahlya sait nous étonner, nous surprendre,
nous faire réfléchir. Ses personnages sont contrastés, mais parfaitement mis
en scène et bien structurés. Cette auteure est capable de jouer avec les
mots, de peaufiner ses métaphores, d'avoir de l'humour et surtout de faire
preuve d'un indéniable humanisme. Elle n'a pas peur de dénoncer l'injustice
sociale et le paraître trop rigide. On retrouve sa créativité en Afrique, en
Tchéquie et en des climats très variés. Son écriture ne laisse toutefois
rien au hasard car avant de créer un ouvrage, Mahlya peut lire, pendant deux
mois ou plus, une documentation sérieuse afin de mieux cerner son sujet ou,
regarder des milliers de photographies représentant le pays qu'elle va
aborder virtuellement. Si l'aspect sérieux de son travail est à relever,
notons également le côté attachant et émouvant des écrits de l'auteure. Elle
planche actuellement sur un roman à paraître en 2011 qui traversera la
Sibérie, en direction de la Yakoutie. 2012 verra naître sa seconde
biographie. Elle a aussi écrit un roman policier. Mahlya est en proposition
de film au sujet de l'un de ses ouvrages.
Mystérieuse, elle estime que seule la signature légale d'un contrat ouvrira
les vannes de ses confidences ! On ne peut pas résumer rapidement Mahlya de
Saint-Ange : avenante, distinguée, charismatique, étonnante, contrastée,
évidemment paradoxale. C'est un caractère fort, un peu "Dard et Miel", à l
instar de son dernier roman paru qu'elle vous signera volontiers au Salon du
Livre de Genève, espace Baudelaire).
Pascal Sauvain, journaliste
hww.mahlyadesaint-ange.ch
Critique d'Art (2010) de Mahlya de Saint-Ange concernant le livre de PAVLINA (Vingt Ans Bleu Passion)
Cristal
de l'âmeEtre en face des créations de PAVLI NA, c'est être
confronté brusquement à la vie, être pris en otage par
le temps, même sans le vouloir.
La peinture de cette artiste est un miroir, ou plus, un
long cheminement, un appel vers les abysses de l'esprit
humain, une dénonciation parfois, voire un allumage
subtil de notre sensibilité. En regardant sa version imaginaire,
sa peinture devient une porte ouverte. Nous accédons
en l'antre de la toile elle-même, nous pénétrons en
sa mémoire et la fulgurance d'un instant est là.
Les couleurs, les formes parlent, murmurent à l'oreille
de notre instinct collectif.
Il Y a comme un vertige d'échos multiples entre l'appel,
les plaintes ou la beauté offerte de la peinture. Nous nous
sentons vivant, vibrant, au seuil ou au centre même de
l'oeil du tableau.
Nous perdons notre individualité pour devenir tout à
coup cette femme ou cet homme représenté dans l'oeuvre
"Old Man River". Nous vieillissons da ns les sillons du
portrait, chemins transparents étirés de sa propre source.
Nous allons vers les ruines de sa vie matérialisée presque
tactilement. La déchirure est là comme le serait la page
épuisée de mots qu'un poète abandonne sous l'orage.
Cette déchirure avance, mystérieuse, comme la
blessure du temps écoulé qui monte sur la joue, sur la
peau, vers le regard. Quel regard? Le regard d'un inconnu,
le nôtre, celui du monde qui petit à petit va se retrouver
encerclé par l'épreuve des ans? Alors nous restons
aimantés par les traces de la terre-visage d'" Old Man
River", les lignes du menton, du cou qui sont comme la
portée d'un destin. L'on y devine des notes de courage,
de rage, de malheur, de haine où l'on remarque la vie se
faufiler sans faire de bruit, la vie, pareille à la nôtre.
Ce qui est prodigieux dans cette oeuvre, c'est que chacun
se sent concerné, étudié, par son propre temps, ses
phrases arrachées, son amour déjà fendillé sur les lèvres
bleutées. Derrière la bouche, l'on devine l'amour non-dit
et la puissance des dents serrées, comme une frontière.
Qui le recevra maintenant, cet amour? Sera-t-il destiné
uniquement à l'enfermement de l'ouvre qui crie pourtant
sa part d'existence ?
Oui. .., PAVLlNA a réussi plus, beaucoup plus qu'une
parfaite maîtrise d'artiste. Elle a fait parler le thème choisi,
elle a fait mouvoir et émouvoir le dessin et a jeté un pont
entre son regard fixé là, sur la toile et celui du passant.
Ce passant peut être jeune, il se sentira encore comme
téléguidé vers son futur et sans doute changera-t-il.
S'aimanter sur l'un de ces tableaux relève de la
métamorphose interne. C'est vouloir être meilleur,
c'est s'arrêter pour s'interroger, c'est se souvenir soudain
de rencontres oubliées, d'ombres perdues, c'est perdurer,
fixé sur place, comme interloqué tout à coup. Il est rare
qu'un peintre sache, non pas se dire, mais dire la vie. Il n'y
a pas d'égoïsme en elle, il y a une déconcertante tentation
d'aller au-delà de soi, et de révéler l'au-delà de l'autre.
Par sa richesse d'expression, cette artiste révèle l'infini
de notre propre coeur. Voilà...oui, PAVllNAfrappe non à notre
esprit mais à notre coeur, non à notre admiration seulement
mais à l'intérieur de nos propres veines. Elle a peint avec le
sang de nos peurs et de nos bonheurs.
Dans le diptyque <Adam et Eve> l'on retrouve ce
mouvement d'aspiration en l'inspiration, comme dans
bien d'autres peintures. Je ne crois pas que la fascination
de cette oeuvre soit due à ses couleurs ou à son thème
si récurrent de l'archétype.
Dans toute la créativité de l'artiste, la peinture
semble danser, se mettre en spirale. Rien n'est statique,
tout est ivresse d'une constante découverte touchant
l'extrême notion de l'être. Tout est invitation vers une
élévation de l'intuition.
PAVllNA n'a pas des mains tièdes ou grises, elle est
elle-même déesse présentatrice d'un art qui saigne, d'un
art qui se sent concerné, un art de louve, un art puissant
qui hurle sa présence et son absolu.
Visiter une exposition de cette artiste, c'est aller à la
découverte de notre être profond, de nos enfers comme de
nos paradis, c'est savoir faire face à ce qui se trouve derrière
les bornes quotidiennes et trop tranquilles de la vie.
C'est aussi avoir le courage d'admirer avec ténacité
de grandes, de hautes réalités et savoir que, devant notre
temps d'aujourd'hui, peut arriver un flash de vérité, le
face à face dérangeant, mais combien enrichissant d'un
portrait sorti tout à coup de l'écume des jours sécurisants:
notre nouveau NOUS...
<Regardez l'art comme vos chemins, avec le fouet de
votre regard> pourrait dire l'artiste. Laissez s'embraser
vos fondements, participez à ma danse des couleurs et des
formes, soyez rêve ou acceptation de l'inacceptable, ouvrez vous
au possible de l'impossible. Demain ...vous serez un
détail de cette toile ou un combat de cette autre vision.
PAVllNA est une magicienne dont le registre des filtres
va de la beauté à l'outrage. Par sa peinture, c'est une femme
engagée qui démontre sa totalité, sa globalité. Elle a en elle
comme le frissonnement sans cesse renouvelé de plusieurs
traits du destin.
En changeant un peu Miguel De Cervantes, je dirais:
Le pinceau de PAVlINA est la langue de son âme.
Mahlya de Saint-Ange
Ecrivain
Genève 2001
Journal < Le Chênois > - Les Cygnes d'Encre
Nouvelles dont on ne pourrait pas bourrer un oreiller bien que le rêve tienne une large place dans ces histoires fantastiques.
L'auteur caresse le temps à rebrousse-poil, multiplie les chausse-trappes et les reflets dans les miroirs.
Fascinant, parfois précieux, non dénué d'érotisme et d'exotisme, ce recueil charme et déconcerte.
Journal < Femmes artistes International > 48, octobre-décembre 2004, Paris.
Les Cygnes d'Encre, l'Ecorce Maudite, Aux Frontières de la Voix, La Dérive du Sexe.
Mahlya, un destin hors série. Chef d'orchestre de mondes imaginaires. Esprit indépendant et visionnaire.
Traqueur de songes, chasseur d'images, Mahlya nous offre des nouvelles peuplées de femmes fortes et fragiles.
Expression aux dimensions à la fois humaines et spirituelles.
L'auteur nous fascine complètement par la force de son écriture, par la puissance des scènes et le goût des mots bien dits.
Dans son énergie rythmée s'expriment de superbes passages quasi extatiques.
L'auteur interpelle parfois directement le lecteur dans son ressenti.
Habilement, l'auteur joue sur plusieurs tableaux pour tisser ses rêves.
A la base de ses histoires, ce n'est pas le néant mais un fait, un personnage qu'elle oriente dans une direction inconnue.
Volonté de rompre avec les excès du déterminisme et du cartésianisme pour aller vers des portraits psychologiques.
Mahlya de Saint-Ange ne se limite pas au combat des mots, elle est soucieuse d'aider les autres dans leur cheminement.
L'écriture de Mahlya est basée sur l'écoute intensive de l'autre pour que puisse surgir l'étincelle de communication profonde.
Bon style, haute qualité littéraire.
Le tarot d'Auramour: Très poétiques, chaque carte inspirée de lointaines civilisations Incas a été peinte par l'auteur. Lumière et couleurs y règnent de manière éclatante alternant avec les rythmes dépouillés des lignes.
Journal < SLOVOTO >, Bulgarie: Publications de plusieurs poèmes de Mahlya.
Alapage, Amazone, Fnac - voir commentaires sur ces sites internet littéraires.
Salon du livre de Genève, séances de signatures.
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Séances radio
Radio Reims, avec le
professeur Roland Choiselle,
sociologue, et Michel Benard, lauréat
de l'Académie française |
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Librairie Reims 2008
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Radios Genève et Reims
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Radio Cité Genève :
Emissions en direct
1) 2007 avec Mahlya de Saint-Ange
Monsieur Jean de Maisonneuve (Directeur de Mességué)
Monsieur Serge Bimpage (écrivain -journaliste)
2) avec Mahlya de Saint-Ange
Madame Claudine Gachet (psychologue)
Monsieur Antoine Marguier (chef d'orcchestre)
3) 2008 avec Mahlya de Saint-Ange
Monsieur Camillo de César (metteur en scène)
Monsieur Michel Dreifus (comédien.)
etc.